Prendre une décision peut s’avérer un moment difficile. Vous l’avez surement vécu, ce fameux choix à faire entre la droite et la gauche, entre l’option A et l’option B. Nous sommes inquiets de ne pas prendre la bonne décision, la peur de l’échec est omniprésente, la peur de nous orienter dans la mauvaise direction sans avoir assez bien évaluer la situation.
Chaque jour, nous sommes face à nous-mêmes et toutes nos incertitudes et nous avons le chic de nous mettre une pression dingue pour faire ces fameux choix.
Cet article participe à l’événement inter-blogueur animé par Shirley du site www.grandiravecplaisir.com je vous invite à le visiter et lire l’article « Comment exprimer nos émotions, trouver la clef de notre cœur » qui m’a aidé à remettre mes idées en place lors de périodes de doutes.
En effet, le doute et les choix font partie de mon quotidien. Peut-être est-ce la même chose pour vous ?
Je vous partage le conseil qui m’a été donné et que j’ai pu valider à plusieurs reprises dans ma vie de tous les jours pour surmonter mes échecs.
Voici ce que j’ai appris : Déculpabiliser, le mauvais choix n’existe pas !
Assez de culpabilité, d’ongles rongés, le bon choix, la bonne direction est une utopie et le meilleur moyen de se provoquer douleurs et ulcère à l’estomac.
L’échec n’est pas forcément le résultat d’un mauvais choix.
Il y a parfois, comme ça, des choix qui ne se font pas facilement. Ce n’est pas évident d’écouter son cœur en même temps que sa raison.
Si vous prenez l’option A elle vous mènera vers d’autres horizons que l’option B, tout simplement. Quoiqu’il se passe, le choix que l’on fait a été fait pour certaines raisons qui ont fait pencher la balance à l’instant T. Peut-être n’aviez vous pas tous les éléments nécessaires pour appréhender une situation ?
Vous êtes libres de faire un choix, mais le choix est-il libre ? Nous pourrions philosopher des heures durant… Les croyances limitantes, notre éducation, nos obligations familiales ou professionnelles et les peurs que l’on génère, formatent le choix que nous prenons. Nous faisons comme nous pouvons avec ce que nous avons.
Vous avez le choix de tester toutes les options, le choix n’a pas à être exclusif et pensé d’une manière binaire. Partant de ce principe, l’échec est la certitude que le premier choix ne fonctionne pas, ou qu’il n’est plus le meilleur choix dans le contexte actuel.
Vous me suivez ?
Trouver une raison à son échec
La vie ne choisit pas de nous embêter mais de nous apprendre des leçons. Je sais que cela est dur à intégrer si vous expérimentez une période de tristesse ou un enchainement de coups durs. Et pourtant, nous sommes là, sur la terre pour expérimenter la vie. Ce sont des leçons de vie à comprendre et tant que nous ne les comprenons pas, la vie se charge de nous l’enseigner encore et encore…
Sortir de la victimisation pour accepter l’échec
Pour surmonter une période difficile, il est contreproductif et destructeur de rentrer dans un processus de victimisation. Il est très facile de tomber dans ce piège, de penser que les galères n’arrivent qu’à nous, que ce n’est pas juste et que vous n’avons pas de chance. C’est passer à côté de la leçon que vous devez apprendre pour évoluer. Et si vous ne l’intégrez pas, cela risque de se produire de nouveau.
Entrer dans l’acceptation c’est assumer les conséquences de nos actes et en prendre la pleine responsabilité. Si vous souhaitez obtenir quelque chose de différent, vous avez l’option de poser des actions différentes de ce que vous faites habituellement pour y arriver.
C’est encore un autre choix qui s’offre à vous.
Se faire confiance
Dernièrement, je discutais du phénomène de doute avec une cliente. Elle me dit, qu’elle s’agace toute seule à changer d’avis alors qu’elle met des actions en place, murement réfléchies depuis quelques temps. Néanmoins, il lui arrivait de ne pas effectuer l’action, et ce au dernier moment, elle ne trouvait plus l’intérêt de la faire. Cela la questionne , elle ne se comprend pas.
Notre inconscient guide nos pas, c’est le domaine de l’intuition, du ressenti, de l’irrationnel. Et pourquoi ne pas leur laisser un peu de place ? Se laisser guider, comme cela, même à l’aveugle en se faisant confiance.
Tout arrive pour une raison, tout est là pour une raison, mais parfois nous n’en avons pas conscience.
Le futur n’est pas figé, il peut changer en fonction de l’énergie du moment. Ce que l’on prévoit de faire maintenant pour plus tard peut changer puisqu’entre temps, il peut se passer plein de choses (en nous et autour de nous) et de ce fait, les priorités peuvent avoir changé également.
Conclusion
Les échecs sont une bénédiction car ils permettent de mettre un point final à quelque chose qui ne fonctionne pas ou ne nous correspondent pas. Cela nous permet de dresser un bilan et de prendre une autre direction après avoir fait le point sur ce qui est vraiment important pour nous.
Vous avez testé, essayé et maintenant vous êtes fixé, la vie vous invite à passer à l’étape suivante. Une nouvelle façon de faire avec le fruit de votre expérience.
Une période de doute, besoin d’échanger pour avancer, réservez vos séances de coaching ici.
bien ma petite Corinne j’ai été transporté dans cette analyse de bon sens je t’embrassse
[…] Mais, bonne nouvelle, on peut s’en remettre et continuer !À ce sujet, vous pouvez lire cet article de Corinne du blog de corinne-coulange.com où elle partage ce qui lui a permis de surmonter […]
[…] ce sujet, vous pouvez lire cet article de Corinne du blog de corinne-coulange.com où elle partage ce qui lui a permis de surmonter l’échec. Elle propose aussi un événement rassemblant plusieurs blogueurs sur le thème des « Les […]